SOS racisme fête ses 35 ans. Fondé le 15 octobre 1984 par des proches du Parti socialiste, l'association entendait lutter contre les discriminations raciales et religieuses. Retour sur l'histoire d'une association symbolisée par le badge "Touche pas à mon pote" à travers les archives de l'Ina.
Découvrez également notre webproduction sur La marche de l'égalité.
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Création de SOS racisme.
Permanence téléphonique, aide juridique pour les victimes de violences physiques ou verbales… A travers un langage direct, l'objectif est de refuser le racisme comme une fatalité du quotidien.
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Création d'un collectif SOS racisme à Notre-Dame-de-Gravenchon après l'agression d'un ouvrier marocain. Karim Allaoui et Bernard Henri Levy sont interviewés.
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Monseigneur Gaillot, évêque d'Evreux : "le racisme n'est pas compatible avec l'Evangile".
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1985. Coluche vient au lycée Henri IV parler du racisme dans le cadre d'une opération organisée par SOS racisme.
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1985. Grand rassemblement place de la Concorde. A la tribune, Harlem Désir déclare : " ce mouvement n'appartient à personne. Ce mouvement appartient à vous qui portez le badge. Que vous soyez beur de Bordeaux, juif de Toulouse ou antillais de Brest".
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Histoire du bagde "Touche pas à mon pote".
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SOS racisme vient soutenir et cloturer "La marche pour l'égalité".
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1987. En pleine campagne présidentielle, Harlem Désir, président de SOS racisme, souhaite occuper le terrain politique pour faire entendre son combat.
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1989. Focus sur SOS racisme 5 ans après sa création.
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1990. Prise de position de SOS racisme sur le fichage informatique.
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1991. SOS racisme invite des députés de droite et de gauche à débattre autour de l'immigration.
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L'internationalisation de SOS racisme. A la fin de l'année 2001, l'association compte 17 000 adhérents.
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Nuit Testing organisée par SOS racisme. Cette opération vise à démontrer que l'accès à certaines discothèques répond trop souvent à des critères raciaux.
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Malek Boutih, nouveau président de l'association, commente un sondage d'opinion sur l'Islam en France.