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Quand la France découvrait le breakdance

Quand la France découvrait le breakdance

L’exposition «Hip hop 360» à la Philharmonie de Paris continue d’attirer les nostalgiques et les curieux. Le graffiti, le rap, le Djing et le breakdance sont à l’honneur jusqu’au 24 juillet. Ces disciplines urbaines ont émergé en France dans les années 80. Retour sur l’une d’entre elles, le break.

Par la rédaction de l'INA - Publié le 03.03.2022
 

Le hip-hop est à l’honneur à la Philharmonie à Paris. Une exposition retrace 40 ans d’histoire de cette culture urbaine au travers de ses différentes disciplines. Parmi elles, le breakdance arrivé en France au début des années 80.

Des voltiges fraîchement débarquées des Etats-Unis. Avec le graffiti, le DJing et le rap, le breakdance, appelé aussi smurf, est l’un des piliers de la culture hip-hop. Un mouvement festif qui va très vite séduire les jeunes des banlieues.

Et le virus du break ne tardera pas à s’étendre touchant tous les âges, toutes les classes sociales, toutes les communautés.

Et bien plus qu’une simple danse, le break devient pour beaucoup une philosophie de vie.

Un message véhiculé aussi par le légendaire Sydney. Rappeur, danseur, animateur télé… L’arrivée du hip-hop en France, c’est grâce à lui. 40 ans plus tard, Sydney avait vu juste. Le breakdance fait partie aujourd'hui des disciplines olympiques. Elle sera représentée pour la première fois aux JO de Paris en 2024.

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