Son goût de l’engagement, ses multiples combats, son militantisme de terrain, voir un « Picard » à l’Elysée, son refus de la chasse ou son engagement politique : le candidat Yannick Jadot est l'invité de «adn», l'émission politique de l'INA, disponible en intégralité en tête de cet article.
L'émission est également à retrouver sur nos pages Youtube, Facebook et Instagram.
Des extraits longs sont à découvrir ci-dessous.
Les actions coups de poing de Yannick Jadot chez Greenpeace
2022 - 03:25 - vidéo
Les actions coups de poing de Yannick Jadot chez Greenpeace
En Zodiac à l’assaut du « Clémenceau », en bataille navale devant le Rainbow Warrior, ou en train d’arracher des OGM : les actions coups de poing de Greenpeace sont à l’origine de l’engagement de Yannick Jadot.
Pourquoi il faut un " Picard " à l'Elysée
2022 - 03:02 - vidéo
Pourquoi il faut un « Picard » à l’Elysée
Né en Picardie, le candidat écologiste explique son attachement à sa région natale. «Quand on est Picard, on a les pieds sur terre, dans la terre, on a une forme de bon sens, on a jamais eu autant besoin d’avoir ce rapport», dit-il.
La question de l'interdiction de la chasse le week-end
2022 - 03:32 - vidéo
La question de l'interdiction de la chasse le week-end
La volonté de Yannick Jadot d’interdire la chasse le week-end, de se battre contre « les chasses cruelles », vient de la Picardie. « On tire à 250 mètres de la maison ! », raconte-t-il dans « adn ». « Quand vous voyez une harde avec un cerf, des biches, c’est fabuleux. Imaginer qu’un cerf devienne une cible, il y a quelque chose qui ne va pas. J’ai du mal à comprendre qu’on puisse vouloir tuer le beau. »
" On doit passer de l'alerte de René Dumont en 1974 à la prise du pouvoir ! "
2022 - 02:18 - vidéo
« On doit passer de l’alerte de René Dumont en 1974 à la prise du pouvoir ! »
Confronté à l’archive de René Dumont présentant sa candidature à la présidentielle 1974, Yannick Jadot explique que l’écologie politique a, jusqu’à présent, échoué à prendre le pouvoir, car elle représente un chemin «difficile». «Il faut démontrer que changer ses comportements, c’est se faire du bien. Mais changer ses comportements, c’est ¼ de la réponse, le reste ce sont les politiques publiques. Aujourd’hui, l’enjeu c’est de prendre le pouvoir, sortir du déni. Il faut crée l'enthousiasme, dire le chemin, et dire que tout le monde sera sur ce chemin-là, d’abord aux bénéfices des plus fragiles et non à leur détriment».