"C’est par la culture que l’homme prend conscience de lui-même et de son identité" déclarait Aimé Césaire .
Le 17 avril 2008 disparaissait le poète. Ina.fr vous propose un portrait de cette figure incontournable de l’histoire martiniquaise, chantre de la négritude.
En 1994, interrogé par Michel Field, dans son bureau de la mairie de Fort-de-France, en Martinique, Aimé Césaire parle de sa conception de la négritude, de sa rencontre avec Léopold Sédar Senghor au lycée Louis-le-Grand, de ce que celui-ci lui a apporté dans la connaissance de ses origines. Le poète lit ensuite Dyali, poème qu'il a dédié à Senghor. (Le cercle de minuit).
Sur le même sujet