L'économie de la région de Belfort repose en grande partie sur ce fleuron industriel à la longue histoire. Fin 2015, juste après le rachat partiel d'Alstom, General Electric avait effectivement promis au gouvernement français la création de 1000 emplois dans les trois années à suivre, comme le rappelait ce sujet de JT, en décembre 2015. A Belfort, les employés de GE, anciennement Alstom, témoignaient leur satisfaction. Les syndicats restaient en revanche circonspects.
Pourtant, ce lundi 21 octobre 2019, sur 792 emplois menacés, 307 vont bien être supprimés. General Electric emploie quelque 4 300 salariés à Belfort, dont 1 800 dans l'entité des turbines à gaz.