Pour accompagner son lancement, le commentaire journalistique fait la part belle au mariage du savoir-faire des deux entreprises, et du sentiment de confusion pour le consommateur qui peut en découler : « l'apparence du coupé 104 Peugeot, la suspension, les freins, la direction, la planche de bord du coupé Peugeot, et pourtant, c'est une Citroën. La synthèse a été faite par les ingénieurs du quai de Javel ».
Jacques Wolgensinger, de Citroën, explique les motivations qui ont poussé le groupe a proposer une telle fusion entre les deux marques dans le modèle LN : « Le besoin d'une nouvelle voiture en bas de gamme subsistait. Il fallait donc que nous sortions très vite une voiture nouveau modèle de bas de gamme, et il fallait que nous puissions [le faire] sans des investissements trop coûteux, il nous est donc apparu qu'exceptionnellement et sous la pression des circonstances nous pourrions effectuer une synthèse, si possible harmonieuse et je crois qu'elle l'est ». Une expérience que le dirigeant souhaite « unique », étant « bien entendu que les futurs modèles Citroën et Peugeot resteront l'apanage de chaque marque ».
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