Avec le mois de mai, les journées rallongent, les rayons du soleil se font plus caressants et les terrasses des cafés ne désemplissent plus. C'est l'époque idéale pour flâner dans les rues de la capitale tout en écoutant cet hymne printanier qu'interprétait Charles Aznavour en 1974 dans l'émission de variétés « Top à ».
Dans cette chanson écrite en 1950 par Charles Aznavour et Pierre Roche, « les bourgeons renaissent » et « une nouvelle jeunesse s'empare de la vieille cité ». Surtout, comme le chante l'artiste, le mois de mai, ce sont « mille petites choses que je ne pourrais expliquer ».
Cette version, qu’on dirait sortie d’une comédie musicale, nous invite à une expérience sensorielle à travers une flânerie en musique dans un Paris idéalisé. Tout en humant, bien-sûr, « ce parfum de muguet que chasse le vent qui passe ».